des clous...
Un souffle passe, la tête se tourne, la faim pointe du manque de chair, les objets de la marche en rues commerçantes se succèdent dans l'oubli, envol d'une idée avant de l'écrire, et merde ! Autre chose alors, toujours la saisie tardive du clavier, à trop manger dessus, il bouffe les lettres, bientôt les additions seront difficiles, manque de sommeil et absence d'envie de se coucher, cependant toujours la fatigue reviendra. Fin des réminiscences digestives de trop d'éthanol qui brûle, le costume est choisi, encore des photographies moches. En résumé, quelques clous plantés. A défaut de graines, hein...