(...)
« Dégingandé »
Les nuits lycanthropes sont les meilleures pour les ballades nocturnes
La vision de Florence devrait me faire chavirer
Une vision télévisuelle plus tard, fantasme solitaire d’une auto-destruction romantique au bout d’un paquet de cigarettes achevé sans véritable envie
Prends donc un morceau de chocolat
Le nuage n’est même pas salvateur
Le pas de la ballade de l’homme maigre me fascine par la force de son évocation
Accords de piano qui impulsent mon imaginaire
Les bulles de mon inspiration clapotent dans la nuit tandis que déjà, les volutes exhalées se dissipent vers la Lune au rythme de l’envol des perspectives/espoirs d’achèvement d’une trop longue solitude